Publié le
7/3/2025

Journée internationale des droits des femmes 2025 : Cinq questions à l’équipe de direction féminine de Kolsquare

Opérant au cœur de deux des industries les plus dynamiques du 21ᵉ siècle — la tech, un secteur majoritairement masculin, et le marketing d'influence, un secteur largement féminin — Kolsquare est bien conscient des biais de genre qui existent dans le monde des affaires. Nous savons aussi à quel point il est difficile d’inverser des tendances profondément ancrées. Progressivement, nous avançons vers notre objectif d’atteindre la parité chez Kolsquare d’ici fin 2025, avec une représentation féminine de 43 % en 2024, contre 35 % en 2023.

À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars, nous avons interrogé l’équipe dirigeante féminine de Kolsquare — Alix Dumarest, Caroline Bennaroz, Lucie Torres, Michella Saliby et Katy Link — sur la manière dont les femmes stimulent la croissance et le changement dans le marketing d’influence, et pourquoi il est essentiel que davantage de femmes investissent les métiers de la tech.

Quel est le meilleur conseil que l’on vous a donné au début de votre carrière ?

Alix Dumarest, Head of Key Accounts : Un conseil qui peut sembler banal mais qui est difficile à appliquer au quotidien : ayez confiance en vous, croyez en vos capacités et osez vous affirmer. Quand vous sous-estimez ce que vous faites, le monde sous-estime qui vous êtes. Alors ne le faites pas 🙂

Caroline Bennaroz, Head of Growth : Honnêtement, je n’ai pas reçu un conseil en particulier qui m’a marquée, mais si je pouvais revenir en arrière et m’en donner un, ce serait celui-ci : il n’existe pas une voie unique. Les carrières ne sont pas linéaires et il n’est pas nécessaire d’avoir tout planifié dès le départ. Être ouverte aux opportunités, même hors de sa zone de confort, et se faire confiance pour construire son propre chemin est essentiel. Vous connecterez les points en avançant.

Lucie Torres, Head of SEO & Content : Le meilleur conseil que j’ai reçu au début de ma carrière était de rester déterminée et confiante dans mes décisions, tout comme je le serais pour celles qui concernent mes proches.

Michella Saliby, Chief Product Officer : Le conseil qui m’a le plus marquée est de toujours me mettre à la place de la personne qui reçoit ma communication, que ce soit une présentation, un atelier ou autre. Quel niveau d’information attend-elle ? Combien de temps et d’énergie est-elle prête à investir ? Comment capter son attention et obtenir ce dont j’ai besoin ?

Katy Link, Head of Brand : Au début de ma carrière, un manager — en fait, le directeur général d’une marque mondiale et l’une des personnes les plus occupées que j’aie jamais rencontrées — m’a dit : « Évite le multitâche. Concentre-toi sur une chose à la fois. »
Pour quelqu’un comme moi, curieuse de tout, facilement distraite et attirée par de nouvelles idées, le multitâche peut sembler tentant. Mais en réalité, cela tue la productivité. Essayer d’en faire trop dans une même journée se solde souvent par une accumulation de tâches à moitié terminées. Prioriser ce qui compte vraiment et s’y consacrer pleinement est ce qui fait la différence sur le long terme, pour avancer dans sa carrière et obtenir des résultats concrets.

Quels conseils donneriez-vous aux jeunes femmes qui souhaitent entrer dans la tech ?

Alix Dumarest, Head of Key Accounts : Et pourquoi pas ? Pour être honnête, je ne me suis jamais posé la question « Est-ce que je peux ? ». C’est vrai, l’industrie tech peut sembler intimidante de l’extérieur. On a vite fait de penser : Tech = Développeurs = Milieu masculin. Il y a une part de vérité là-dedans, bien sûr. Il faut s’attendre à être régulièrement mansplainée et à devoir répéter ses idées plusieurs fois avant qu’elles ne soient entendues aussi clairement que celles des hommes. Mais si vous voulez changer les choses, vous devez le faire de l’intérieur. Cette industrie a besoin de nouvelles perspectives. Entourez-vous de modèles et de mentors, qu’ils soient des femmes ou des alliés, pour vous guider et vous soutenir. N’ayez pas peur de postuler à des postes qui vous intimident – les compétences s’acquièrent, l’audace est un état d’esprit. Enfin, restez fidèles à qui vous êtes. Votre identité, sous toutes ses formes, est une force, pas un frein.

Caroline Bennaroz, Head of Growth : Je pense que le plus important est d’être curieuse – surtout vis-à-vis de la tech elle-même. Peu importe votre rôle, comprendre la technologie derrière ce que vous vendez donne un énorme avantage. Posez des questions, explorez et n’ayez pas peur de plonger dans des sujets qui semblent complexes au premier abord. La tech évolue vite, et rester curieuse est l’un des meilleurs moyens d’avoir toujours une longueur d’avance.
Et bien sûr, soyez stratégique. Soyez claire sur vos objectifs, identifiez les compétences ou l’expérience dont vous avez besoin, et avancez pas à pas avec des choix intentionnels.

Lucie Torres, Head of SEO & Content : Soyez flexible et ouverte d’esprit. La tech vous expose à une multitude de domaines et cette diversité accélère l’apprentissage.

Michella Saliby, Chief Product Officer : Ne vous laissez pas intimider par la présence masculine ou par ceux qui paraissent ultra-passionnés par la tech. Vous n’avez pas besoin de rêver de tech et de respirer tech pour travailler dans ce secteur ! Au final, c’est une question de logique et de connaissances techniques qui peuvent s’acquérir.

Katy Link, Head of Brand : Arrêtez de trop réfléchir et lancez-vous ! Ce qui est génial avec la tech, c’est que presque tout le monde peut y faire sa place, quel que soit son parcours, son éducation ou son milieu social. Tout ce dont vous avez besoin d’apprendre est disponible en ligne, et si vous avez un ordinateur avec une connexion internet et la volonté d’apprendre, le monde peut rapidement devenir votre terrain de jeu.
La tech, c’est tester, apprendre et pratiquer. Essayez différentes choses, expérimentez, construisez, cassez et réparez – tout cela fait partie du processus.
L’une des plus grandes leçons que j’ai apprises en passant dans la tech, c’est d’arrêter d’avoir peur de l’échec et de vouloir tout rendre parfait dès le début. L’état d’esprit MVP (Minimum Viable Product) vous apprend à créer quelque chose qui fonctionne d’abord, puis à l’améliorer ensuite. C’est valable dans presque tous les domaines du business : celles et ceux qui restent agiles, passent à l’action et trouvent des solutions en cours de route sont souvent ceux qui réussissent vraiment.

Pourquoi l’industrie tech a-t-elle besoin de plus de femmes ?

Alix : Parce qu’une industrie qui façonne l’avenir (et qui le fera encore plus avec l’IA) ne peut pas se permettre de le faire avec une vision biaisée ou partielle. Les femmes apportent des expériences, des sensibilités et des idées qui enrichissent l’innovation. Plus il y a de diversité (en termes de genre, d’orientation, de parcours), plus les solutions développées sont inclusives et pertinentes. Les études montrent que les entreprises diversifiées performent mieux. Mais au-delà des chiffres, c’est aussi une question de justice : nous avons toutes et tous notre place là où se prennent les décisions.

Caroline : Je pense que toutes les industries ont besoin de femmes, car elles doivent refléter le monde dans lequel nous vivons. Mais la tech en particulier souffre d’un énorme fossé, et c’est une opportunité manquée. Les femmes apportent de la créativité, de l’innovation et une perspective différente – souvent avec un sens aigu des responsabilités et de l’impact à long terme.
À mon avis, plus il y aura de femmes dans la tech, plus nos innovations seront inclusives et éthiques.

Lucie : La tech est l’un des secteurs où les femmes restent largement sous-représentées, notamment aux postes de direction. Leur présence en plus grand nombre apporterait des perspectives plus diversifiées et des approches plus empathiques, essentielles pour favoriser l’innovation et créer des solutions inclusives.

Michella : Comme dans tous les domaines, un équilibre est nécessaire dans l’industrie tech. Les femmes sont tout aussi compétentes et motivées, il n’y a donc aucune raison pour qu’elles soient moins présentes dans ce secteur.

Katy : Le monde des affaires en général, et pas seulement la tech, a besoin de plus de femmes et de diversité pour prospérer sur le long terme. Encore et encore, l’histoire et les recherches ont prouvé que les équipes diversifiées surpassent les équipes homogènes, qui sont bien plus sujettes au groupthink et aux mauvaises décisions.

Combien de guerres ont été déclenchées par de petits groupes d’hommes riches, vieux et blancs, enfermés dans une salle et tous d’accord entre eux ? Combien d’idées révolutionnaires ont été écartées simplement parce qu’elles ne correspondaient pas aux habitudes des décideurs en place ? Plus de diversité, c’est plus de créativité dans la résolution des problèmes et des stratégies plus intelligentes.

La tech, qui repose sur l’innovation et l’adaptabilité, a besoin de perspectives nouvelles pour remettre en question le statu quo et briser les biais existants. Depuis des décennies, de nombreux produits ont été conçus en prenant l’homme comme modèle par défaut, entraînant des designs qui excluent les femmes. Des modèles d’IA qui renforcent les stéréotypes de genre aux mannequins de crash-tests basés uniquement sur des morphologies masculines, ce manque de représentation a des conséquences concrètes dans la vie réelle.

Au-delà de ça, les femmes apportent souvent une intelligence émotionnelle plus développée et une approche centrée sur l’utilisateur, permettant de créer une technologie plus inclusive, pensée pour l’humain et qui sert un public plus large.

Aujourd’hui, les femmes ne représentent que 28 % de la main-d'œuvre dans la tech, alors qu'elles constituent la moitié de la population. Augmenter leur présence ne relève pas seulement de l’équité : c’est un levier pour un business plus performant, une innovation plus intelligente, et un futur qui reflète réellement la diversité du monde dans lequel nous vivons.

Comment voyez-vous les influenceuses jouer un rôle dans le changement social ?

Alix : Les influenceuses jouent un rôle clé dans la levée des tabous et l’amplification de voix trop longtemps ignorées. Elles mettent en lumière des réalités souvent passées sous silence, comme la représentation LGBTQIA+, qui me tient particulièrement à cœur puisque ma partenaire est une femme. Cela peut sembler anodin, mais voir des figures publiques s’affirmer et partager leurs expériences aide énormément à se sentir légitime et accepté. Elles ouvrent le dialogue, sensibilisent et inspirent des actions concrètes.

Caroline : Les influenceuses sont devenues des voix puissantes et ont initié des discussions essentielles. Elles militent pour l’égalité, la diversité, la santé mentale, et elles le font en touchant des audiences gigantesques. Ce qui rend leur impact encore plus fort, c’est qu’elles ne se contentent pas de parler pour les autres : elles créent des espaces où chacun peut se sentir vu et entendu. Elles donnent aux communautés une place où elles peuvent s’exprimer et s’affirmer.

Lucie Torres : Les influenceuses sont à l’avant-garde du changement social en donnant la parole à celles et ceux qui n’avaient pas de tribune auparavant. Grâce aux réseaux sociaux, elles peuvent s’exprimer librement, provoquer des discussions et remettre en question les normes établies. En France, des créatrices comme EnjoyPhoenix et Léna Situations sont devenues des figures incontournables du féminisme. Elles inspirent des millions de personnes avec un contenu authentique et engagé, tout en contribuant à faire évoluer la société vers plus d’égalité et d’inclusivité.

Michella : Les influenceuses ont un rôle majeur à jouer dans le changement social, car d’autres femmes peuvent s’identifier à elles et partager des expériences similaires. Briser les barrières, parler des sujets tabous, échanger des opinions et des conseils, ou simplement réussir et montrer que c’est possible ! Bien sûr, les hommes peuvent aussi être moteurs du changement, mais voir une femme réussir et mentorée par d’autres femmes est souvent plus inspirant qu’un énième discours masculin sur le potentiel et la réussite. Peu importe leurs bonnes intentions, les défis auxquels sont confrontés les hommes et les femmes dans l’industrie tech, par exemple, restent bien différents.

Katy : C'est incroyable de voir combien de femmes sont à la tête du monde de l’influence digitale – qu’elles soient entrepreneures, créatrices de contenu, ou les deux à la fois. Elles laissent leur empreinte d’une manière qui n’aurait pas été possible auparavant. L’influence digitale combine une multitude de compétences : créativité, construction de communauté, identification des tendances et compréhension des audiences – et dans beaucoup de domaines, ce sont les femmes qui sont en première ligne.

Des mouvements comme #MeToo ont changé la donne, montrant aux femmes du monde entier qu’elles ne sont pas seules face aux injustices. Beaucoup d’influenceuses ont poursuivi cette dynamique en utilisant leurs plateformes pour défendre la body positivité, l’égalité et la diversité des modèles féminins.

Quand j’étais plus jeune, les figures féminines les plus visibles étaient les Spice Girls ou Britney Spears, des stars façonnées par des équipes masculines et enfermées dans des stéréotypes de genre très étroits. Aujourd’hui, grâce aux réseaux sociaux, de plus en plus de voix féminines indépendantes émergent et représentent des communautés qui n’avaient auparavant aucune visibilité dans les médias traditionnels. Être authentique et différent semble presque être devenu la norme – et j’adore ça.

Bien sûr, certains influenceurs perpétuent encore des standards de beauté dépassés. En tant que tante, je m’inquiète parfois de ce à quoi mes nièces sont exposées en grandissant avec les réseaux sociaux à portée de main.

Mais en parallèle, il y a désormais beaucoup plus d’espace pour les voix féministes, et les femmes peuvent enfin poser leurs propres règles. Les communautés en ligne soudées permettent d’ouvrir le dialogue, de collaborer et de faire avancer le changement – que ce soit à travers des groupes locaux ou des mouvements mondiaux.

J’espère que cela continuera à inspirer les femmes de tous âges et de tous horizons à utiliser leur voix et à réaliser qu’elles ne sont jamais seules.

L’industrie du marketing d’influence est majoritairement féminine (tant du côté des créatrices que des marketeuses). Voyez-vous cela comme un atout ou un inconvénient ?

Alix : Ce n’est ni tout noir ni tout blanc, mais la tendance est positive. Depuis ses débuts et pendant des années, l’influence a été perçue comme un secteur 100% féminin. « Oui, c’est des nanas qui parlent de leur routine beauté, donc ça n’intéresse que les femmes. » Ce sont les gros clichés auxquels nous avons été confrontés en tant qu’acteur clé de l’industrie.

Mais l’influence a gagné en crédibilité et est devenue incontournable pour toutes les marques en 2025. Les mentalités évoluent, de nouveaux postes émergent (comme Global Influencer Manager), et l’influence est aujourd’hui reconnue comme un levier stratégique d’acquisition et de notoriété. Ce qui était autrefois perçu comme une simple exécution opérationnelle est maintenant un sujet stratégique qui atteint les plus hauts niveaux de décision dans les entreprises… et cette fois-ci, ce sont des femmes qui mènent la danse ! Et ça, c’est génial !
C’est une opportunité incroyable de voir des femmes inspirantes occuper un espace stratégique à grande échelle et de démontrer (si cela était encore nécessaire) qu’elles peuvent façonner les récits et les standards culturels.

Caroline : En réalité, ce n’est pas uniquement le marketing d’influence qui est un secteur dominé par les femmes, le marketing en général l’est aussi.

L’influence est devenue une stratégie essentielle pour les marques, et voir des femmes mener cette industrie est incroyablement puissant. Cela signifie que leur créativité et leur vision stratégique ont un impact direct sur le business.

Par ailleurs, de nombreuses créatrices façonnent les récits sur les réseaux sociaux et touchent des audiences massives. Pour moi, c’est non seulement positif, mais aussi vertueux. Voir d’autres femmes réussir, prendre la parole et s’imposer encourage encore plus de femmes à oser s’exprimer et à prendre leur place.

Lucie : Cela dépend. D’un côté, le leadership féminin dans l’influence permet à des voix engagées de porter des idées fortes et progressistes. Mais d’un autre côté, cela peut aussi véhiculer une image négative quand certaines influenceuses exploitent leur notoriété pour promouvoir des tendances superficielles ou des produits discutables, comme des procédures cosmétiques inutiles.

En fin de compte, l’influence est un reflet de la société, il est donc essentiel de soutenir les voix qui contribuent positivement et qui utilisent cette plateforme pour faire avancer les choses dans le bon sens.

Michella : Globalement, je vois cela comme un point très positif. D’ailleurs, j’ai même commencé à utiliser le féminin pour parler d’un influenceur quelconque en français, alors que la grammaire voudrait qu’on utilise le masculin.
Mais au-delà de ça, ce qui me réjouit encore plus, c’est de voir une montée en puissance de l’inclusivité dans tous les domaines, qu’ils aient historiquement été dominés par des femmes ou par des hommes.

Katy : Je trouve ça extrêmement positif de voir une industrie où les femmes sont en tête, que ce soit du côté des créatrices ou des marketeuses. L’influence a donné aux femmes un espace où elles peuvent façonner les récits et construire des communautés, ce qui n’était pas toujours possible dans les industries plus traditionnelles.

Cela dit, je suis aussi une grande partisane de l’équilibre et de la diversité. Sur le long terme, chaque industrie devrait être un lieu où tout le monde, indépendamment du genre, peut contribuer, échanger et s’inspirer mutuellement.

L’objectif ne devrait pas être qu’un groupe domine un autre, mais bien de créer des espaces inclusifsles talents, les idées et les perspectives peuvent s’épanouir sans biais.Idéalement, le genre ne devrait même plus être un critère aussi central—l’important devrait être qui apporte de la valeur, de la créativité et de l’innovation.

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